jeudi 19 juillet 2007

How to

Ne me restant que peu d'illusions sur la vacuité de la vie, conscient que si on la ramenait à sa partie congrue, hormis pour les quelques hommes d'exceptions sur cette planète, profondément défaillant dans l'atteinte des médiocres objectifs qui leurs ont été dictés à la naissance, on ne la résumerait qu'à une dissémination maximale de sa piètre gelée. Cette torture sans fin, au nom de la pérennisation de l'espèce. On y passe sa vie, sans jamais y atteindre une quelconque satisfaction. Il y aura toujours plus de vagins à désacraliser.

Dès lors qu'une opportunité de baiser se présente, le mot hésitation disparaît de notre vocabulaire. On la baise sans compter jusqu'à ce que l'envie disparaisse et que l'ennui prenne place. Mais il suffit juste d'une demi-heure pour que la torture reprenne son envoûtante danse. La folie attend sagement son heure.
Alors on garde précieusement cette fille en cas d'assechement soudain de la p
êche. On rendosse, selon la nécessite, son apparat de pêcheur pour repasser un anodin hameçon au coup de fil de courtoisie qu'on se prépare à passer dans l'espoir dissimulé de l'embrocher une nouvelle fois. De la nécessité de l'ex.

Je ne peux constater, à mon propre désarroi, qu'il vaut mieux traverser la vie sans complètement se soucier de la morale et autres considérations altruistes, au risque de dénaturer la sienne des réels bons moments. Le fruit du péché est bien le meilleur. Être homme des cavernes, à culbuter de la grognasses en lui tirant les cheveux aux sons exquis du claquement du bas du ventre contre sa paire de fesses, qu'y a-t-il de plus satisfaisant? Un retour à l'essence même de la vie, le
minimalisme existentialiste dans ce qu'il a de plus pure et d'honnête. Sans parler du talent innée qui nous a été conféré, en la matière, à notre naissance. Une redistribution équitable universelle à en faire jalouser Karl.

C'est à travers mes
périgrénations nocturnes alcoolisées que j'ai compris, dans les observations et la pratique, la logique de fonctionnement de la phase de pré accouplement. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant toutes ces filles innocentes de bonnes familles se laisser embourber pour finir la soirée a mordre l'oreiller. Alors j'ai osé, contraint, imposé tous ces vices qui se dressaient comme des montagnes morales infranchissables. Elles ont soupirés, gémis et ont commencés à en redemander, toujours un peu plus fort. Les barrières morales venaient de s'évaporer et le mystère des femmes avec.

Contre intuitivement, la preuve d'amour n'est en fait que la projection du soi dans l'attente d'une réflexion grandie de son ego (Lorsque le miroir se
fent, on réapparaît à la vie meurtri). La est toute l'hypocrisie des femmes dans leur soi disante quête d'amour. Elle n'ont que soif de domination, avec une chatte en guise de reine, pour mieux mettre en échec.

Ne plus souscrire à ce rituel d'hypocrisie, c'est comme pouvoir ouvrir ses cadeaux de Noël sans avoir à attendre le 25 décembre. C'est l'ouverture infinie du vagin, le début de la vie, la vraie.

2 commentaires:

Unknown a dit…

félicitations...

Unknown a dit…

tu as une plume qui me touche et me foudroie.

on en veut plus.