vendredi 10 octobre 2008

Génétiquement misogyne

Il y a des concepts qui, malgré leurs propos initialement abhérrants, font leur chemin dans l'inconscient collectif. Un en particulier qui fit grand bruit il y a un peu plus d'un an, sur l'inée et l'acquis, vient de m'amener à cette réalisation.

J'en suis maintenant persuadé, je suis génétiquement misogyne. Dieu sait que je fais beaucoup d'efforts pour me convaincre du contraire, de les aimer dans leur totalité, dans leurs complexité la plus profonde, mais il y a ce truc il n'y a pas d'autre mot pour le décrire, dans le comportement, les fondamentaux du processus de réflexion feminin, qui suscite chez moi, un spectre de réactions allant de la méfiance au mépris le plus total.

Est-ce le fait d'une mutation génétique ayant eu lieu au cours de ma vie, créant ainsi une incompatibilité chimique ou juste la conséquence de l'éducation paternelle, qui me mettant tôt en garde face au diabolisme oestrogénique, "Fiston, quand tu te marieras, choisis la TRES gentille car crois moi, elles ne s'améliorent pas avec le temps", résonne aujourd'hui de tout son poid à l'âge où de si nombreuses personnes se marient? Il est probable que la seconde hypothèse ait eu comme conséquence la première.

Il est certain que ma relation avec la première femme que j'ai connue, en la personne de ma mère a sans aucun doute eu une influence non négligeable sur ma perception des femmes, surtout que mon rapport avec elle fut pour le moins, conflictuel, fait de voeux de mort prematurée, de menaces d'expulsion et de conflits réccurents intremelant mon père. Mon cher père, mon pauvre père. Si je repense brièvement à sa vie avec les efforts et les sacrifices conssentis et ce qu'il a eu en retour de sa famille et plus légétimement de ma mère, je peux honnetement affirmer qu'une partie de sa vie lui a été gachée, spoliée et que ce qu'aurait du être une vie adulte épanouie s'est résumée en un vomissage permanent de reproches, complaintes et mépris. Parfois, souvent même, j'eus envie de la tuer, ma mère, cet être parasite s'accrochant à son hote, afin de profiter d'une vie nullement méritée, sans jamais montrer la moindre satisfaction, sans jamais dire le moindre merci. Mon père est quelqu'un de "trop gentil", croyant sincèrement en la bonté de l'homme, en l'importance de la famille. J'ai essayé de lui expliquer que malgré ses bonnes intentions, il faisait fausse route, mais il s'en moque. Un brave homme, mon père.

A travers cet exemple et tous les nombreux autres observés et expérimentés, il me semble à ce jour évident que les femmes, malgré leur OPA sur le sentiment et leur "supposé" don inée pour tout ce qui est en lien à la sensibilité, sont en verité des handicapés du sentiment, des myopathes de l'amour.

N'est-cela pas un signe quand l'infinité du sentiment amoureux, la complexité de l'émotion suscitée est symbolisée par la simplicité bovine de la chanson de Lara Fabian? Comme si une expression du sentiment un tant soi peu élaborée leur est difficile, inconnue. Nos ancêtres n'avaient peut-être pas completement tort, en considérant les femmes en des animaux légèrement plus évolué.

Quelque soit, les objections d'ordre historique sur la condition de la femme, au final, quels ont été les grands auteurs et peintres feminins ayant marqués l'histoire? A une ou deux exceptions près, les femmes ont été incapable ou pire, n'ont peut-être jamais ressenti le besoin d'exprimer sous quelquonque forme, un semblant de trouble vis à vis de leur alter-ego masculin. Les femmes seraient-elles en fait trop omnubilées par leur personne et leur capacité à procréer? Serait-ce la raison expliquant cet égoisme qui ne serait que l'expression de l'instinct de survie, les obligeant en tant que garante de la survie de l'espèce, de faire preuve d'une grande et froide rationnalité? Seraient-elles donc génétiquement incapables de s'attacher à un homme autrement que superficiellement? Ne verraient-elles donc dans leur partenaire, qu'un simple moyen matériel afin d'assurer la pérénité de l'espece alors que l'homme y voit la possibilité de donner un sens à la vie?

Bien heureusement, de nombreuses autres dynamiques rentrent en jeu dans le rapport homme-femme, contraignant les deux parties au compromis, mais dans le fond s'attacher, tomber amoureux d'une femme, c'est tout simplement être masochiste, c'est perdre son temps et son énergie dans une quête auto-destructrice, si ce n'est celle d'avoir des enfants.

P.S: C'est moi ou toutes les filles en couple ou mariées font constamment la gueule en vacances?

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Non ce n'est pas toi... elles font TOUTES la gueule!!

Je te rejoins dans tes reflexions... comme d'habitude

L'anonyme a dit…

Merci Lashoz, ca me rassure de savoir que je ne suis pas seul a penser comme cela

Anonyme a dit…

Elles ne font pas toutes la gueule juste celles qui sont avec leurs maris :) Je suis contente que tu aies repris en plus je peux même croiser Lashoz chez toi c'est merveilleux :)))

Anonyme a dit…

Bien que la médiatisation féministe laisserais penser le contraire, il y en a plus que tu ne crois qui pensent comme toi...

Anonyme a dit…

J'espere qu'ELLES te le rendent bien!